L’album d’une recontre qui a auguré une nouvelle écriture pour HFT et bien d’autres choses, avec la collaboration d’un nouveau Manager.
PK
17 novembre 2015 à 09:44
L’album que je préfère, dont le live au Bataclan.
inconnu
10 février 2015 à 10:47
@ slip :
Je t’ai reconnu…E !
indices :
– ton pseudo : ( kangourou )
– diamant ( Arabesque )
– psychologie ( à l’inconnu qui écrit ce post )
– et Pise peut-être pour aussi pour la marine, sa tour penchée* ?
nb :
– la tour penche réellement car je l’ai visitée comme ton …. 😉
obs :
en 2001 HFT était certainement grâce à cet album le moins déjanté et au plus près de sa réalité !
Slip
10 février 2015 à 03:16
C’est du sérieux ici ? On remonte jusqu’en 2001 avec un album complètement déjanté ou presque, c’est au tour de Pise de continuer la communication sur les diamants de la psychologie…
Arabesque
9 février 2015 à 21:34
un diamant….
invité
9 février 2015 à 16:52
Ci-dessus : î : The Album ma Sœur 😉
Hun co#nnu
6 octobre 2014 à 14:38
lueur d'inespoir
5 octobre 2014 à 12:23
El'Toqué
21 novembre 2012 à 18:08
, cit. de cocoy :
Certainement la création la plus aboutie, la plus poétique.
Une œuvre déroutante, je dois l’avouer, j’ai mis du temps à l’apprécier à sa juste valeur.
21 novembre 2010 à 16 h 53 min
sylvie
15 février 2011 à 16:54
Oui le guitariste et le fondateur des Rolling Stones, un musicien multi instrumentiste.
bernard
15 février 2011 à 16:07
BRIAN JONES , à ses début se faisait appeler Elmo Lewis, bel hommage
stephan david
5 janvier 2011 à 18:46
Cet album la,frole la perfection .que dire des fastes de la solitude ,du grand thiefaine .
Mickaël
20 décembre 2010 à 10:23
Je suis peut-être le seul à avoir d’entrée apprécié « le touquet, juillet 1925 » et à considérer que les points faibles de l’album sont « quand la banlieue descendra sur la ville » et « also sprach winnie l’ourson » (Thiéfaine s’est un peu vautré sur cet approximation de rap et la qualité du texte, bizarrement, ne suffit pas à sauver le morceau).
Pour en revenir au « touquet », j’y retrouve un peu de « souchon/voulzy » dans la mélodie, comme dans « méthode de dissection… » sur l’album précédent, et c’est loin de me déplaire.
koamae
20 décembre 2010 à 10:18
A part « Le Touquet Juiller 1925 », rien à jeter de ce disque qui compte parmi les meilleeurs du chanteur !
cocoy
21 novembre 2010 à 16:53
Certainement la création la plus aboutie, la plus poétique.
Une œuvre déroutante, je dois l’avouer, j’ai mis du temps à l’apprécier à sa juste valeur.
Adrien
17 novembre 2010 à 21:53
Le « Dernières Balises (avant mutation) » des années 2000 par son audace. L’album qui associe le mieux le nom de « THIEFAINE » à l’expression « avoir des couilles au cul ». Parce qu’il en fallait une sacrée paire pour oser cet album ! Le tout est minutieux, perfectionné (jusque dans son packaging), déroutant à la première écoute, et tellement puissant !
Hubert signe, à mon humble idée, dans cet album, parmi ses plus beaux textes (« Camélia, huile sur toile », « Les fastes de la solitude »). Un OVNI (cela n’engage que moi) par contre, qui malgré des dizaines voire centaines d’écoutes, n’a toujours pas obtenu l’approbation de mes tympans : « Le Touquet Juillet 1925 », je me passerai de commentaire. Mais je ne la sucre jamais, pour tout dire, à force, en l’écoutant, je me mets même à la chanter !
Loreleï2
17 novembre 2010 à 19:51
Camélia … c’est la perfection !
Lorelei2
17 novembre 2010 à 19:16
J’ai mis très longtemps à rentrer dans cet album , aujourd’hui je ne peux plus m’en passer … avec une mention spéciale pour Camélia Huile sur Toile et Les Fastes de la Solitude !
http://www.thiefaine.com/discographie/?cat_id=1&album_id=10
L’album d’une recontre qui a auguré une nouvelle écriture pour HFT et bien d’autres choses, avec la collaboration d’un nouveau Manager.
L’album que je préfère, dont le live au Bataclan.
@ slip :
Je t’ai reconnu…E !
indices :
– ton pseudo : ( kangourou )
– diamant ( Arabesque )
– psychologie ( à l’inconnu qui écrit ce post )
– et Pise peut-être pour aussi pour la marine, sa tour penchée* ?
nb :
– la tour penche réellement car je l’ai visitée comme ton …. 😉
obs :
en 2001 HFT était certainement grâce à cet album le moins déjanté et au plus près de sa réalité !
C’est du sérieux ici ? On remonte jusqu’en 2001 avec un album complètement déjanté ou presque, c’est au tour de Pise de continuer la communication sur les diamants de la psychologie…
un diamant….
Ci-dessus : î : The Album ma Sœur 😉
, cit. de cocoy :
Certainement la création la plus aboutie, la plus poétique.
Une œuvre déroutante, je dois l’avouer, j’ai mis du temps à l’apprécier à sa juste valeur.
21 novembre 2010 à 16 h 53 min
Oui le guitariste et le fondateur des Rolling Stones, un musicien multi instrumentiste.
BRIAN JONES , à ses début se faisait appeler Elmo Lewis, bel hommage
Cet album la,frole la perfection .que dire des fastes de la solitude ,du grand thiefaine .
Je suis peut-être le seul à avoir d’entrée apprécié « le touquet, juillet 1925 » et à considérer que les points faibles de l’album sont « quand la banlieue descendra sur la ville » et « also sprach winnie l’ourson » (Thiéfaine s’est un peu vautré sur cet approximation de rap et la qualité du texte, bizarrement, ne suffit pas à sauver le morceau).
Pour en revenir au « touquet », j’y retrouve un peu de « souchon/voulzy » dans la mélodie, comme dans « méthode de dissection… » sur l’album précédent, et c’est loin de me déplaire.
A part « Le Touquet Juiller 1925 », rien à jeter de ce disque qui compte parmi les meilleeurs du chanteur !
Certainement la création la plus aboutie, la plus poétique.
Une œuvre déroutante, je dois l’avouer, j’ai mis du temps à l’apprécier à sa juste valeur.
Le « Dernières Balises (avant mutation) » des années 2000 par son audace. L’album qui associe le mieux le nom de « THIEFAINE » à l’expression « avoir des couilles au cul ». Parce qu’il en fallait une sacrée paire pour oser cet album ! Le tout est minutieux, perfectionné (jusque dans son packaging), déroutant à la première écoute, et tellement puissant !
Hubert signe, à mon humble idée, dans cet album, parmi ses plus beaux textes (« Camélia, huile sur toile », « Les fastes de la solitude »). Un OVNI (cela n’engage que moi) par contre, qui malgré des dizaines voire centaines d’écoutes, n’a toujours pas obtenu l’approbation de mes tympans : « Le Touquet Juillet 1925 », je me passerai de commentaire. Mais je ne la sucre jamais, pour tout dire, à force, en l’écoutant, je me mets même à la chanter !
Camélia … c’est la perfection !
J’ai mis très longtemps à rentrer dans cet album , aujourd’hui je ne peux plus m’en passer … avec une mention spéciale pour Camélia Huile sur Toile et Les Fastes de la Solitude !