Ici Londres
il y a 10 années
THIEFAINE, LA CURE DE JOUVENCE – Par Amandine Jean
Le chantre du rock français a livré son premier concert londonien jeudi 27 juin au Bush Hall et a plongé le public dans le souvenir des années rebelles.
On a rarement vu foule aussi bigarrée : barroudeurs, punks sur le retour, chevelures grisonnantes mais aussi dreadlocks… On découvre aussi une communauté française que l’on voit rarement aux événements Frenchy : les « assimilés », qui sont intégrés depuis si longtemps qu’ils en ont un peu oublié la langue de Molière.
Bizarrement, il n’y a pas que des Français : des fans autrichiens (?!) qui ont déjà vu Thiéfaine à Bruxelles il y a quelques années et arborent le tee-shirt de l’artiste singulier. On croise même des Anglais, et promis ils n’étaient pas à nous. Thiéfaine, qui n’a jamais été dans la lumière, draine depuis trente ans un public d’initiés, à la fidélité à toute épreuve. Un parcours hors norme, qui ne s’explique pas.
Tous ont en commun un passé avec Thiéfaine et un lien affectif naturel. Ici et là, certains se rappellent de leur premier concert dans les années 80, et évoquent avec nostalgie leur années rebelles, leur insouciance… Avant même l’entrée du groupe, les fans se serrent devant la scène, fébriles. Si le public est majoritairement constitué de trentenaires et quadra, aujourd’hui tout le monde a 17 ans.
Thiéfaine entre en scène et se place au milieu de ses musiciens, veste noire cintrée, jean, chemise blanche et cravate noire portée négligemment. Pour le plus grand plaisir du public, il attaque avec des vieux morceaux comme Lorelei mais propose aussi des titres de son dernier album, Suppléments de mensonge. Entre les morceaux, il glisse brièvement quelques mots en français. L’anglais, on le sait, c’est pas son fort. En revanche, ce qui étonne le plus, c’est que sa poésie torturée à sens multiple touche également les non francophones.
Quand le groupe se retire, le public ne lâche pas l’affaire, prêt à tenir un siège s’il le faut. Pendant de longues minutes, il entonnera les notes de La fille du coupeur de joint… Jusqu’à ce que le groupe revienne interpréter le mythique morceau et se donne, une dernière fois, dans un long rappel.
Le 28/06/2013 – ICI LONDRES
comment
Afin qu’ils deviennent (les petits poussins) de grands anglais beaux poulets !!
Ah ben je ne fais que jeter du maïs pour mes petits poussins cher porte-avion 🙂
S
Tu cherche un nid pour toi ou pour tes œufs ?
Depuis que Borniol a fermé temporairement son forum ‘Autorisation de ne plus délirer ‘ pour de faux motifs ‘ tu es orphelin petit homme ?
😉
petits petits petits… ou sont passées les petites poux saintes et les petits poux seins ?
Mais l’ptit charles, avec qui les uns et les autres jouent aux billes, n’est pas dupe.
, nous ne sommes grand ou petit que part notre façon d’être dans la vie !
Borniol est un petit qui peut encore grandir ..
Oui, c’est même du chèque spire…
Le message de nonoss c’est du petit homme !
Je canote en douze temps 😉
Et joue bli est…:
Le carbu est au zénith,surtout c’est riz vin neuf….
7 vierge t’as rendue marteau et tu t’es bien lançé…
Son dodge n’est pas vipère (au point d’oublier d’ou elle vient)…
Mais si tu la revoies…Deaf dumb blind….Isn’t it?
Comme en terre sainte et million…..Champ pagne et i vrai ce kon….
Commentaire saint-;Emile ils ont :champagne et ivresse….
Le don « père y gnons » est a oh vie les,t’es pas sion?
…le Don Pérignon est a Hautviller,tes passions…
Ville et Hafon oh mépris 2 thé doux l’heure?…
Vie les a fond au mépris de tes douleurs…
PSIG:Partage Simplement ;Intelligemment et Grandiras….
PSI-G:part,t’as jamais été accept et lit Dio du village tant sa carte est paire y met tout son coeur…
Les nôtres sont plus grosses que les vôtres
Les leucocytes mononucléaires font du bruit en rebondissant sur les aponévroses de vos incohérences.
‘dans le dernier écho de ton dernier silence’
‘ MERCREDI 22 JUIN :
L’artiste est co/ndamné à faire disparaître le cadavre de sa victime. C’est à dire : à se retourner dans sa tombe pour s’auto-phagocyter* ‘
*HFT
Ah ah ah….Le français parle aux Français…The English people cannot understand subtilities of this text….You are the best one….Docky,i don’t raie membre her tour last name before your suicide?Can you help me?Of course (de relais) ma planète m’aide un peu…HFT…SHK…PNK…LOL…Même kon-bas et même beat-élevé…
… des dents plus blanches…
Explication : j’ai essayé de voir ce qu’un anglais pouvait comprendre d’un texte d’Hubert traduit dans sa langue avec google traduction 🙂
Une explication ?
Je crois avoir trouvé l’explication :
La lune s’attarde au-dessus des collines
Et je me sens la lueur des étoiles sous la peau
jacaranda fleurs et le parfum de l’aubépine
dans l’or de la nuit cheveux circuler librement
canneberges boréales groseilles et les bêtes sauvages
le velours de vos lèvres humides et licencieuse
me laisser un goût dans la bouche de la folie pourpre
une saveur estivale aux couleurs silencieuses
Annabel Lee
pas un seul cheveu blanc
a grandi sur mes rêves
Annabel Lee
les amateurs de nouvelles
Je feuillette tes lèvres
Vapeurs canneberge oublié dans la bruine
Et pétroglyphes sur vos sanctuaires bleu
l’esprit de la mangrove suit l’ombre de votre djinns
& Dézeste enregistre estuaires subtiles
ne laissez pas la peur passage entrouverte
l’argent noir et toxique dans les yeux
mais éclaire vos sages pensées
pour un moment de calme , agréable plaisir
Annabel Lee
pas un seul cheveu blanc
a grandi sur mes rêves
Annabel Lee
les amateurs de nouvelles
Je feuillette tes lèvres
Annabel Lee
J’ai dans mes récepteurs
le parfum de votre voix
Annabel Lee
Je te c/onnais par coeur
sur le bout de mes doigts
Loin dans le mélange vallée de brouillard
pastel safran violette et orange
Et je vois des reflets dans les yeux voilés
par les réminiscences de cruautés anciens
ne les laissez pas envahir mères vinaigre
vos pensées votre mémoire vos rêves et votre sourire
chasser votre détresse permet de printemps
temps et la tendresse de l’apaisement
Annabel Lee
pas un seul cheveu blanc
a grandi sur mes rêves
Annabel Lee
les amateurs de nouvelles
Je feuillette tes lèvres
Annabel Lee
J’ai dans mes récepteurs
le parfum de votre voix
Annabel Lee
Je te c/onnais par coeur
sur le bout de mes doigts
Et pourquoi est il interdit d’expliquer ce parcours ?
The moon lingers above the hills
& I feel the glow of the stars under your skin
jacaranda flowers & fragrance of hawthorn
in the gold of the night your hair flow freely
boreal cranberries currants & wild beasts
the velvet of your lips moist & licentious
leave me a taste in the mouth of madness purple
a summery flavor to the silent colors
Annabel lee
not a single white hair
has grown on my dreams
Annabel lee
the novel lovers
I flip through your lips
Vapors cranberry forgotten in the drizzle
& Petroglyphs on your blue sanctuaries
the spirit of the mangrove follows the shadow of your jinn
& Dézeste logs subtle estuaries
do not let fear ajar passage
dark & poisonous money in your eyes
but gives light your wisest thoughts
for a moment of calm, delightful fun
Annabel lee
not a single white hair
has grown on my dreams
Annabel lee
the novel lovers
I flip through your lips
Annabel lee
I have in my receivers
the scent of your voice
Annabel lee
I know you by heart
on the tip of my fingers
Away in the valley mist mixture
pastel saffron violet & orange
& I see reflections in your eyes veiled
by reminiscences of ancient cruelties
do not let them invade mothers vinegar
your thoughts your memory your dreams & your smile
chase away your distress lets the spring
time & tenderness of appeasement
Annabel lee
not a single white hair
has grown on my dreams
Annabel lee
the novel lovers
I flip through your lips
Annabel lee
I have in my receivers
the scent of your voice
Annabel lee
I know you by heart
on the tip of my fingers
de chez moi : le pain de guerre est dur !